piloter et communiquer efficacement
CSRD
CSRD : EU’s Corporate Sustainability Reporting Directive
Sustainable Business by Watch.
Adoptée en octobre 2014 par la Commission européenne, la Non Financial Reporting Directive instaure une première obligation, pour les grandes entreprises et ETI européennes, de publier une déclaration de performance extra-financière. En parallèle de leur bilan comptable, les entreprises doivent déclarer leurs performances environnementales, sociales et sociétales. Cette obligation est traduite en droit français en 2017, et complétée par la Loi Pacte en 2019.
Conformément à la directive européenne, le dispositif français vient dire dans quel domaine on doit publier des informations, mais ne dit pas comment on les mesure, quels sujets on doit aborder, dans quel ordre, quels sont les référentiels, etc.
La CSRD vient compléter, affiner cette disposition.
Progressivement, la Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) imposera à 50 000 entreprises européennes de publier un reporting de durabilité, selon un référentiel commun et une méthodologie imposée pour déterminer les domaines dans lesquels publier des informations (double-matérialité). Dessinant le cadre d’une triple-comptabilité, financière, environnementale et humaine, la CSRD relève aussi le niveau d’exigence en certification de la sincérité des informations publiées, pour accompagner la large part de transition environnementale portée par les entreprises.
Principes directeurs de la CSRD :
• Maîtriser le concept de double matérialité
• Intégrer la durabilité au coeur de l’activité économique
• Construire un cadre structurant et exigeant pour le reporting de durabilité de tous les pays de l’UE
• Permettre une meilleure comparaison entre les entreprises
Les 4 niveaux de reporting :
• La stratégie
• La gouvernance
• La gestion des impacts, risques et opportunités
• Les mesures et objectifs de durabilité
Les 3 niveaux d’informations :
• Les informations communes à tous les secteurs
• Les informations propres à certains secteurs prioritaires
• Les informations spécifiques à l’entreprise
Aspects clés
Rapports normalisés
La CSRD définit un format et un ensemble de paramètres communs pour les rapports des entreprises sur le développement durable. Cela garantit la cohérence et facilite la comparaison entre les entreprises d’une même industrie ou d’un secteur à l’autre.
Double matérialité
Les entreprises doivent rendre compte de la « double matérialité ». Cela signifie qu’elles doivent tenir compte de 2 points de vue :
1. La manière dont les questions de développement durable affectent les activités commerciales et les performances financières de l’entreprise.
2. L’impact des activités de l’entreprise sur l’environnement et la société.
Mise en oeuvre
Analyse des écarts au stade existant – Base Zéro
1- Évaluez les pratiques actuelles en matière de rapports quant aux exigences du CSRD.
2- Identifier les domaines dans lesquels des améliorations peuvent être faites s’agissant de la collecte des données, les méthodologies de reporting ou les processus internes.
Collecte et gestion des données
Mettre en place des systèmes de collecte et de gestion des données sur les indicateurs de durabilité relatifs aux questions matérielles identifiées.
Élaborer une stratégie de rapport
Définissez la manière dont vous présenterez le rapport CSRD.
Assurance
Création du rapport
Compiler le rapport CSRD en suivant les lignes directrices de l’ESRS et en intégrant les résultats de l’évaluation de l’importance relative.
Assurance
Engagez un auditeur indépendant pour vérifier l’exactitude et la crédibilité des informations rapportées.
Plus-value de notre approche
Sur-mesure
• Un des fondements de Watch est que chaque client, chaque mission, chaque problématique sont des cas uniques.
• Ce n’est pas à nos clients de s’adapter à notre ADN, notre culture, nos outils.
• C’est à nous de s’adapter à la culture de nos clients, leur contexte, leurs spécificités.
Proximité
• La proximité, au sein de Watch, signifiera l’appropriation des enjeux de nos clients. Cette proximité n’est pas synonyme de temps disponible important pour nos clients.
• Elle revêt un caractère concret, opérationnel : notre engagement est total.
• C’est pourquoi les femmes et hommes qui oeuvrent au sein de l’entreprise Watch n’ont pas une pleine carrière dans le monde du pas une pleine carrière dans le monde du Conseil. Toutes et tous furent dirigeants, cadres au sein du monde de l’industrie ou de Service. Les contextes et quotidiens de nos clients sont donc plus aisés à appréhender et comprendre.
Concret
• Nous devons à nos clients d’être concrets, factuels.
• L’approche dans le cadre de nos missions est toujours calquée sur la notion d’impact.
• Que nos missions aient toujours un impact positif fort.
• C’est pourquoi en interne. Nous évaluons la valeur créée dans le cadre des projets que nous pilotons aux côtés de nos clients et partenaires.
• Watch doit être un investissement et non une dépense.
• Le retour sur investissement pour nos clients en termes de valeur créée est de 1,8 – pour des missions dont le calendrier excède six mois.
Utile
• Cette notion d’utilité nous est chère dans la mesure où nous souhaitons transmettre méthodologies, approches pour nos clients, pour leurs dirigeants, mais également pour leurs équipes.
• Viser l’utilité est, selon nous, la première mission d’un cabinet de Conseil.
• Nous nous y attachons chaque jour.
• On nous appelle partners, coachs, consultants, leaders, experts, managers… Peu importe. Tant que nous serons utiles.
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aux nouvelles obligations CSRD
CSRD : EU’s Corporate Sustainability Reporting Directive
Sustainable Business by Watch.
Adoptée en octobre 2014 par la Commission européenne, la Non Financial Reporting Directive instaure une première obligation, pour les grandes entreprises et ETI européennes, de publier une déclaration de performance extra-financière. En parallèle de leur bilan comptable, les entreprises doivent déclarer leurs performances environnementales, sociales et sociétales. Cette obligation est traduite en droit français en 2017, et complétée par la Loi Pacte en 2019.
Conformément à la directive européenne, le dispositif français vient dire dans quel domaine on doit publier des informations, mais ne dit pas comment on les mesure, quels sujets on doit aborder, dans quel ordre, quels sont les référentiels, etc.
La CSRD vient compléter, affiner cette disposition.
Progressivement, la Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) imposera à 50 000 entreprises européennes de publier un reporting de durabilité, selon un référentiel commun et une méthodologie imposée pour déterminer les domaines dans lesquels publier des informations (double-matérialité). Dessinant le cadre d’une triple-comptabilité, financière, environnementale et humaine, la CSRD relève aussi le niveau d’exigence en certification de la sincérité des informations publiées, pour accompagner la large part de transition environnementale portée par les entreprises.
Principes directeurs de la CSRD :
• Maîtriser le concept de double matérialité
• Intégrer la durabilité au coeur de l’activité économique
• Construire un cadre structurant et exigeant pour le reporting de durabilité de tous les pays de l’UE
• Permettre une meilleure comparaison entre les entreprises
Les 4 niveaux de reporting :
• La stratégie
• La gouvernance
• La gestion des impacts, risques et opportunités
• Les mesures et objectifs de durabilité
Les 3 niveaux d’informations :
• Les informations communes à tous les secteurs
• Les informations propres à certains secteurs prioritaires
• Les informations spécifiques à l’entreprise
Aspects clés
Rapports normalisés
La CSRD définit un format et un ensemble de paramètres communs pour les rapports des entreprises sur le développement durable. Cela garantit la cohérence et facilite la comparaison entre les entreprises d’une même industrie ou d’un secteur à l’autre.
Double matérialité
Les entreprises doivent rendre compte de la « double matérialité ». Cela signifie qu’elles doivent tenir compte de 2 points de vue :
1. La manière dont les questions de développement durable affectent les activités commerciales et les performances financières de l’entreprise.
2. L’impact des activités de l’entreprise sur l’environnement et la société.
Mise en oeuvre
Analyse des écarts au stade existant – Base Zéro
1- Évaluez les pratiques actuelles en matière de rapports quant aux exigences du CSRD.
2- Identifier les domaines dans lesquels des améliorations peuvent être faites s’agissant de la collecte des données, les méthodologies de reporting ou les processus internes.
Collecte et gestion des données
Mettre en place des systèmes de collecte et de gestion des données sur les indicateurs de durabilité relatifs aux questions matérielles identifiées.
Élaborer une stratégie de rapport
Définissez la manière dont vous présenterez le rapport CSRD.
Assurance
Création du rapport
Compiler le rapport CSRD en suivant les lignes directrices de l’ESRS et en intégrant les résultats de l’évaluation de l’importance relative.
Assurance
Engagez un auditeur indépendant pour vérifier l’exactitude et la crédibilité des informations rapportées.
Plus-value de notre approche
Sur-mesure
• Un des fondements de Watch est que chaque client, chaque mission, chaque problématique sont des cas uniques.
• Ce n’est pas à nos clients de s’adapter à notre ADN, notre culture, nos outils.
• C’est à nous de s’adapter à la culture de nos clients, leur contexte, leurs spécificités.
Proximité
• La proximité, au sein de Watch, signifiera l’appropriation des enjeux de nos clients. Cette proximité n’est pas synonyme de temps disponible important pour nos clients.
• Elle revêt un caractère concret, opérationnel : notre engagement est total.
• C’est pourquoi les femmes et hommes qui oeuvrent au sein de l’entreprise Watch n’ont pas une pleine carrière dans le monde du pas une pleine carrière dans le monde du Conseil. Toutes et tous furent dirigeants, cadres au sein du monde de l’industrie ou de Service. Les contextes et quotidiens de nos clients sont donc plus aisés à appréhender et comprendre.
Concret
• Nous devons à nos clients d’être concrets, factuels.
• L’approche dans le cadre de nos missions est toujours calquée sur la notion d’impact.
• Que nos missions aient toujours un impact positif fort.
• C’est pourquoi en interne. Nous évaluons la valeur créée dans le cadre des projets que nous pilotons aux côtés de nos clients et partenaires.
• Watch doit être un investissement et non une dépense.
• Le retour sur investissement pour nos clients en termes de valeur créée est de 1,8 – pour des missions dont le calendrier excède six mois.
Utile
• Cette notion d’utilité nous est chère dans la mesure où nous souhaitons transmettre méthodologies, approches pour nos clients, pour leurs dirigeants, mais également pour leurs équipes.
• Viser l’utilité est, selon nous, la première mission d’un cabinet de Conseil.
• Nous nous y attachons chaque jour.
• On nous appelle partners, coachs, consultants, leaders, experts, managers… Peu importe. Tant que nous serons utiles.
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